Ombres furtives
par La-rose-des-sables
Une parenthèse, arrêtons le temps
Ne jamais oublier dans ce cellier ;
Où, 4 moines furent assassinés.
Il y a longtemps.
Par le peuple de la Révolution, l’ignorance
Des gens engendrent, parfois des médisances.
Où le massacre eut lieu, ne jamais l’effacer.
Les révolutionnaires les pourchassèrent,
Souvenir, de ces personnes pieuses exécutées
Leurs empreintes furent naguère
comme un sacrilège pour les avoir tuées.
Dans cet endroit une sérénité
A la pénombre,
Furtives ombres
On se perd et on rêve
Sans aucune trêve
Poème posté le 25/08/09