La mort la plus hideuse
par Alejandro
Tu me saisis parfois
De tes doigts crochus
Et la peur est un poison
Qui se cache sous ta toison.
Tes ongles fourchus
Ensanglantent mon cœur et ce maintes fois.
Tu n’es un modèle pour personne,
Et tu ne façonnes
Aucune excuse quand sonne
La porte du purgatoire,
Ce lieu provisoire
Te décalquant un poing qui te désarçonne,
Et renie ton avis ostentatoire.
Poème posté le 26/11/09