On épluche sa vie
par Raymond
Ô douce infirmière tu calmes douleurs et bobos,
En infini douceur, victorieuse des maux
Tu soignes et soulages, avec tes gentils mots,
Mêlés de tendresse nobles défis tous égaux.
A coup de morphine ,assure la griserie,
Le temps d'une journée, d'un soir en rêverie,
Démontre des séances de soins faits en série,
Tels des nuées d'abeilles essaimant les galeries.
En toi la médecine cloisonne là l'espoir ,
Et tu dessines toujours, l'incandescence miroir,
De nos coeurs finesse et tout en gestes du savoir,
Reflète l'humain humble et modeste simple devoir.
Un jour vient où le front se ride..
Poème posté le 21/07/15
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