Le bonheur ces vers imaginaires que l'on boit
par Raymond
A Nacera,
Comprendrez-vous qu’il faut beaucoup d’amour pour elle,
Dans son regard brillant de perles et de flammes,
C’est pour lui qu’elle laissera parler son âme,
Claire comme un cristal, éclatante très belle.
Je sais son cœur me dit, elle est plus qu’une femme
Douceur d’une maman pour son petit garçon,
Et son cadran solaire, son soleil son sésame
Sa raison est qu’elle ne cherche une liaison.
Ô! Miroir du baiser en graffitis subtils
Le bonheur n’est secret ni lointaine contrée,
Doucement, lentement, il viendra se lover,
Effleurant ses cordes sensibles et habiles…
Demain dans le jardin la complainte d’aimer
Et comme d’autre choyée trouvera son profil.
Savoir distribuer la joie de lire en me faisant fi de toute timidité.
Poème posté le 02/10/15