Å l’encre de tes yeux
Je trempais ma plume
Puis tes larmes se sont taries
Et je n’ai plus eu de source.
Ma muse m’a laissé
À l’aube d’une sérénade
Sous les étoiles
Qui devait enflammer
Mon âme
De doux mots murmurés
L’attente a durée
Et mon cœur s’est asséché.
Ô larmes !
Ô désespoir!
Vide est mon encrier.
IRIS 1950