Chair enchanteresse
par Ruben
Heureux l’homme que ta main caresse
Tes doigts de plume sans cesse
Effleurent la peau avec paresse
Des ondes de volupté éveillent ma jeunesse
Bénies sont ces heures de tendresse
Volées au temps qui tant nous oppresse
Ces heures qui je le confesse
Ont grisé mon cœur d’une folle ivresse.
Poème posté le 05/03/16