Sur la vie de mon corps
par Kiriyatskiy
Vive ma thèse ou ma mort!
Mon esprit est très fort
Et se sert du vers d'or.
Son Miroir formidable
Me reflète tout encore,
Où Il n'est pas d'accord
Avec l'arbre de diable
Mais me jette comme une balle
Pour gâter l'air moral,
Où ce poème vous dévoile
L'existence des pauvres.
Contre le service mal
Trop secret, l'art cristal
Se lève dans mes belles œuvres.
C'est le ciel avant l'aube,
Car toujours, l'on dit: «Stop!»
À ma chance d'Europe.
Mon nom est dans la liste
Noire, parmi les microbes
Qui occupent toutes vos robes,
Par nombreux extrémistes.
La mafia serait nue,
Si ma thèse soutenue
Traversait l'avenue
Des Fils Gros de ses membres
Qui cachent ce Contenu
Du clan. Ils sont venus,
Pour l'argent, à leurs chambres,
Dont pratiquent la prison
Où je n'ai nulle maison
Que j'oublie ma raison
Sans recherche de l'Être.
Comme plusieurs jeunes garçons,
Que j'étais un poisson
Sans espoir sur mes lettres.
Liberté au savants!
Qui veulent suivre mes plans
Des travaux: tant avant
Vos pressions des puissances
Sur nos traits dépendants
De chaque crainte dedans
Leurs obscures subconsciences.
Pour me persécuter
Par l'esclave qui dictait
Seule sa sécurité
Du roi des démocrates,
Vous plaît l'éternité
De Staline qui goûtait
Ses soldats qui se battent
Et se vendent aux peurs,
Ils brûlent l'ordre de mœurs,
Leur nouveau dictateur
Fait ouvrir sa fenêtre,
Par l'homme qui perd son cœur,
Dans le règne du malheur
Qui l'oblige à renaître.
En Youtube: https://youtu.be/X0GC2BN0PNY?list=PL0E36675F83995F43
Poème posté le 14/03/16