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Je me Rappel
par PatrickDeschamps


Si nostalgique d’un temps passé, Ou comme des enfants comblés, Nous découvrions le temps et aimaient, Chaque moments se disant jamais, Toi avec tes charmes tu m’embrasais, Je lui donnerai la pluie, je disais, Qu’elle aimait tant et sereine dansait, Les cheveux mouillés sur son sourire parfait, Si nostalgique d’un amour passé, Ou je te disais tous les jours, Que tu comblais de regards enivrés, Mes sentiments que je gardais sourds, Toi avec tes charmes tu m’inspirais, Je t’aurais peint avec la douceur, Du temps qui nous manquait, Dont nous vivions chaque heure, Si nostalgique d’un Jour passé, Ou comme la vie nous agissions, D’imprévus et marchions entrelacés, Sans vraiment penser aux déceptions, Toi avec tes charmes tu consolais, Un mal de vivre que je traînais, Qui avant toi malheureusement venait, D’une adolescence où je flânais, Si nostalgique de ton amour passé, Que tu te plaisais tant à donner, Moi je t’embrassais et te disait, Boire tes paroles et que jamais, Toi avec tes charmes tu aveuglais, Mes désirs que pour toi je fuyais, Je, amant de ma misère, t’attendais, Espérant un miracle je te désirais, Si nostalgique de ta chaleur passé, Ou en me disant m’aimer tu voulais, Bâtir dans une forêt blessée un sentier, Qui nous mènerait enfin au palais, Toi avec tes charmes tu me quittais, Au désespoir et en larmes je te confiais, Mes peines, fardeaux et secrets, Me comprenant si belle, tu me reprenais, Si nostalgique de nos récits passés, Que nous aimions nous rappeler, Parlant de larmes qu’hélas sont usées, Et qu’oubliant les lacs et vergers, Toi avec tes charmes tu me croyais, Que nous devions vivre et sentais, Qu’un retour aux sources nous plairait, Je ne faisais que dire que déjà je changeais, Si nostalgique d’une liberté passé, Ou j’aimais me ressourcer seul et délaissé, Ou j’aimais te découvrir et te créer, Des œuvres que pour toi je forgeai, Toi avec tes charmes tu pleurais, Me disant m’aimer mais tu te résignais, À me croire car souvent je changeais, Mais pour mieux revenir à mes filets, Si nostalgique, d’où mes paroles tu buvais, Chaque regard que si doucement je lançais, À tes yeux pendus à mes lèvres, et riais, Des coquetteries que je te faisais, Toi avec tes charmes tu me troublais, J’avais si peur de te perdre que jamais, Aveuglé d’orgueil et tourments, je n’osais, T’avouer tendrement tes beautés et effets, Si nostalgique de nos moments passés, Que désespéré je me plais à me rappeler, J’ai si longtemps désiré, ne sachant l’avouer, Ce que par amour je désire te prouver.

Sans mérites, ais grand cheminement spirituel pour moi. Je redeviens enfant par ce texte.<br />
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Réapprend à aimer comme à mes 20 ans.


Poème posté le 23/02/11


 Poète
PatrickDeschamps



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