Sonnet pour Isabelle
par Georges roland
Petite fille en quête d’univers
Tu es pourtant au seuil de l’existence
De tes grands yeux tu regardes l’hiver
Tomber en flocons blancs sur ton enfance
Tu es perdue au fond d’un rêve amer
De nostalgie et de grandes vacances
La neige tombe et tu penses à la mer
Ta poésie est pleine de confiance
Lorsque soudain au creux de tes deux mains
Tu vois s’ouvrir de nouveaux lendemains
Avec la vie qui gonfle ton corsage
De nouveaux jeux de nouvelles ardeurs
Tu as perdu tes larmes de candeur
Et tu t’en vas vers d’autres paysages
Poème posté le 02/03/11