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Mon doux printemps I et II
par PatrickDeschamps


Aujourd’hui je découvris la beauté, Celle qui bien pâle se veut clarté, Elle aura à mes yeux, d’amour démontré, Ce qui pousse le printemps à se montrer, Elle est les fleurs qui germent, Et bien qu’isolées se font fermes, Elle est ces fleurs que sous l’hiver, Viennent aimer et se peignent de vert. Elle est ces bourgeons qu’opiniâtres, Viennent désaimées et verdâtres, Ces semences qu’au fond bien agitées, Viennent inanimées se semer, Elle est ces feuilles qui naissent, Car de se nourrir de lumière, Les branches abimées s’affaissent, Et mille couleurs de printemps renaissent, L’herbe qui perce ces évasives neiges, Et sous tous ces charmes déshabille, Tout ce qui était couvert de beige, Vient, sans détour grimper et s’habille, Du parfum qui réchauffe les pierres, Car elle est celle à qui Saint-Pierre, Dit tout bas de retourner en guerre, Et sous mon amour briser ses fers. Elle en qui la flamme qui s’animait, Vint en hiver coucher les blés, Qui reprirent vie et aimaient, Renaître se disant tout bas jamais! Elle m’aura fait rêver et danser, Car sous tous ses fous attraits, Elle allait en son cœur bien valser, Car en moi provoquait ces effets. De se blottir sous les labeurs et chaleur, Se réfugier vers ces aimantes hauteurs, Vous aurez été pour moi ces douceurs, Que d’une lumière renaissante de sueur, M’aura transmis le désir de vous rêver, Car au printemps sous ces songes enjoués, J’aurai essuyé le froid qui bien qu’enduré, Vous porte d’un été, de désirs perdurer. Pour moi de couleurs auront été, Cette saison chaleureuse qui eût été, Cette raison voguant, bien qu’eût été, Vers de passions et odeurs d’été. Elle est ces tulipes perçantes et décorées, D’aimer se découvrir sous de jaunes maquillés, Rire d’éclat brut et de rouge se fît gênée, Car elle aura été ce rose en souvenirs égarés. II- les oiseaux J’aperçois maintenant venant de si loin, Ces voyageurs qui auront fui d’aussi loin, La froideur de l’hiver qui se fait impair, Car d’aucune peur ils auront su se taire. Ils étaient bien nantis, bien reposés, Et ici ils reviennent vivre ces doux baisers, De leurs couleurs qui se font animées, Dont l’amour naissant ne peut s’égarer. Vous êtes pour moi toutes ces voix, Qui viennent doucement me chanter, Ces hymnes pauvres sur les toits, Qui ne cessent de me hanter. Vous êtes de vos rouges resplendissants, Vous êtes de vos passions bien enjoués, Car cette rougeur que de moi se jouai, Si beaux, vous êtes toujours ahurissants, Et oui moi! Je vous vois sourire! Sous vos folles joies veut me nourrir, Et oui moi! Je vous vois repartir, Sous votre belle envie de soutenir, Cette (mielleuse*) mélodie si poétique, Qui en mon cœur se fait prophétique, Car vos douces paroles n’auront trouvés, Aucun autre cœur pouvant m’y retrouver, Vous m’avez d’une bien jolie chanson, Fait écrire cette ardente passion, En qui ne rêvait que sous sanction, De n’êtes pour vous que création. J’aurai été bien près de vous, Car d’être si loin me rend fou, Quand au dessus de moi survolez, De vos ailes sereines et charmées, De vos sourires si éclatants, Vos désirs qui sur moi ventant, D’être et lumière et noirceur, Me font renier la froideur, Que sous l’hiver je me serai caché, Car sous trop de blanc j’aurai caché, Ces trémolos en qui j’aurai caché, Cet amour qu’un moi s’était caché. Vous m’avez de printemps enseigné, Vous! migrant ici pour résigner, Vos envies et vos doux péchés, Sous toutes oreilles aurez déniché, Celui qui prend vos chants et les font vivre, Car d’avoir tout oublié et compris, Ces hommes pensant avoir réfléchis, Bien que dévots ne savent revivre. (Car d’être dévot fait oublier, Car de n’être dévot fait oublier!) Venez en ma main vous poser, Car pour vous je serai serin, Venez en ma main dorloter, Ces doux paysages si sereins. Vous m’avez d’une seule plume, Enlevé cette misérable enclume, Qu’est le désir de se perdre, Et de soi-même se craindre. Vous me chuchotez à cette sourde, Oreille qui se veut bien lourde, Sur ces têtes qui ne se tiennent, Et qu’en rêve je vous fis mienne. Vous qui de vos charmes aurai peint, Vous ce joli cardinal m’inspirez des refrains, Qui sous ces couplets tendres et mesures, M’auront charmés sous toutes vos allures.

J'adore! Et puis je suis dans mille et un projets! je donne dans le théâtre aussi présentement! Et moi qui pensait avoir oublié la beauté!<br />
<br />
merde!


Poème posté le 18/03/11


 Poète
PatrickDeschamps



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