Petite poésie en plume majeure
par Plumedebois
Le temps qui filait s’est suspendu à nouveau
La douce nuit fit place au jour brillant
S’entame, à présent, un délicat allegretto
Qui s’enchaîne à ce précédent mouvement
Je vois la lumière, magnifique et sincère
Dont jouit l’heure de midi avant l’automne
J’entends les vocalises de la rivière
Et, des fougères, les soupirs qui résonnent
Ô Jour, tu m’éblouis par ton éclat
J’entends tes violons et le chant de ta trompette
Tu résous l’aube en une cadence si parfaite
Toi, coda splendide de ce bel aria
Poème posté le 26/08/16