L'Exilé
par Cochise
par Cochise
Un désert parcouru en marchant,
Le sable dans l'air sifle son chant,
Le blessé tombe à terre et s'écroule.
Un medecin vient à son secours,
Sors la seringue en dernier recours.
D'une fontaine, il donne l'eau qui coule.
Une fois guérit, on vient l'arrêter,
Mais l'homme innocent est entêté,
Il demande à parler au syndicat.
On l'amène plutôt voir le sultan,
Qui l'acceuille et l'invite en riant,
À plaider devant lui, sans avocat.
Derrière le rideau, le grand Vizir,
Dompte le monarque, et y prend plaisir :
"Il faut couper cet homme dans le cours
De son chemin, son secret est lourd,
C'est son venin qui nous tuera si,
Vous écoutez ses propos farcis."
Le Sultan s'est fait hypnotiser,
L'homme avait la chance de s'opposer,
Mais voila la séance écourtée.
Le juge a refusé d'écouter,
Le syndicat de l'afghanistan,
Ne voudra pas lui laisser le temps.
rêve que j'avais fait un peu avant que mon patron me mette à la porte
Poème posté le 31/03/11