Après...le monde
par Onimaru
Paix et lumière nourrissent l’alcôve tranquille,
Bercée par les rêves des démiurges antiques.
Et à nous la fin de cette promesse idéale, belle
Faites au silence des astres de rendre parole
Les choses, les émotions, dire amour et poésie
Comme la caresse d’une femme veillant sur le repos.
Des soupires d’étoiles, des soupçons d’âme.
Dans la danse fiévreuse et triste d’un monde d’armes
De peur, comme si la colère devant la mort juste
Nous possédait ; ma mort est un bien précieux
Je la garde pour après…le monde est grand.
Mama Gaïa dit tu es un tout. Alors rien ne m’afflige.
Je ne dirais jamais j’ai compris. Les certitudes sont bêtes.
Poème posté le 01/06/11