Oh ! La Gueuse !
C’est la guerre en nos terres.
Pour le peuple elle apporte la misère.
Moi chevalier, elle m’apporte la richesse.
En occasion permet de labourer la bougresse.
Car forlancer la gueuse est chasse singulière.
Intrépides femelles devraient ne connaître que maître.
Qu’elles s’inclinent, jouvencelles, aux boutoirs,
du sanglier toujours gouteux au soir.
Preux chevalier n’est nul là pour conquérir territoire,
en doux troubadour, il aime les belles histoires.
Pénétrer de son dard l’abeille qui lui résiste,
est chose merveilleuse, un combat absolutiste.
Loïc ROUSSELOT