Qu'il est bon qu'il est bon, ton con,
Et comme un ours bien léché mais gourmand
Je ne sais si j'y mets le gant la langue ou le doigt
Peut-être bien les trois à la fois,
S'il apparaît aussi large que profond,
Et que j'y trais le miel enivrant
J'aime quand la houle te prend
Que sous mes reins tes hanches festoient
Recevant mon glorieux éperon
Mais déjà l'orgasme s'éprend de nos voix
Et tandis qu'à ton râle aiguisant je réponds
Je lance au combat mon dernier régiment
Bientôt le feu prend possession de ton front
Laisse monter l'ivresse d'un tsunami violent
Et bravant la tempête je m'accroche au mât
Qu'il est bon qu'il est bon de braver l'ouragan
Gonflé de poupe en proue de demeurer en toi
Sous mes coups de boutoir d'enfoncer ton violon
Ah ! chevaucher longtemps et repousser l'instant
Où je laisserai choir, oubliant le combat
Une larme d'hommage à ma reine au doux con !