S’il y a du souffle et de la poussière
Pour tendre le bras vers les étoiles
Modifiant tout à coup l’équilibre planétaire
La trajectoire des corps, mettant les voiles
La tête au milieu des nébuleuses
Le ciel s’est enflé de lumière violette
Echo d’Orion vers Betelgeuse
Du fracas d’une comète
A la verticale de l’été
Au fond de tout ce noir
Pour perdre ses droites allées
Et la lumière de l’espoir
Le matin confisque son charme
Dans de lointains obscurs
Habités par les larmes
– pour une autre aventure -
Je ne sais pas si tendre les bras suffit
A jouer avec les astres
Aveuglé, je ne vois que la nuit
Et du matin qui s’en va,… le désastre…
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RC – 2 février 2013
à retrouver sur http://ecritscrisdotcom.wordpress.com/2013/02/05/tendre-le-bras-vers-les-etoiles-rc/