Poème Oulana (Hélène ) par Franz

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Oulana (Hélène )
par Franz

Voyez mon iroquoise, elle a perdu sa plume Mais le reflet cuivré de son derme sylvestre S'assombrit aux replis de nuances terrestres Et ses cheveux aux vents flottent comme l'écume D'écorce et de bouleau dans ses yeux de rivière Brille le nâcre obscur de la fille des bois Ils sont surtout sereins et jamais aux abois On dirait à les voir un lac noir de lumière Qui reçut par son sang la sagesse lointaine De ces tribus du nord. La paix du calumet A modelé son âme et son coeur du respect Des enfants et des fleurs, et pour la race humaine. " Ne rentrez pas les fleurs dans la maison ! " " Elles sont beaucoup mieux dehors. "

Poème posté le 22/07/13

Poète

Franz

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