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Om !
par Ouakaman


L'amer océan, pourtant si doux, Quand l'âme erre en ses cieux. Pas à pas, en se fondant à la chaîne, La goutte peut devenir pérenne. Mais à chercher les limites de nos rêves, On se heurte, on échoue, sur la côte crânienne. Et à peine l'accord perdu, De la plus muette des vagues, surgît une tempête. Cristalline et turquoise, ta fraîcheur matinale ! Tout ton corps me caresse, quand je plonge dans tes reins ! Quand tu te lies au ciel, Aucun chaos n'assouvit ta faim, Déchaînée et vagabonde, tu terrorises même les dauphins ! Comme une mère solidaire, tu recueilles les orphelins. Comme un père solitaire, tu murmures ton chemin. Conscience du Temps, tu es le sang de la Terre. L'eau donne et l'eau pleure. L'aumône et l'homme meurt. ...



Poème posté le 17/08/17


 Poète
Ouakaman



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