AMSTRONG JAZZ
par Passager
Tu jazzes la vie
Tu chantes l’espoir blues
Tu es d’Aubervilliers
Tu es de nulle part
Des femmes obscènes
Te déclarent leurs financières flammes
Toi tu bats le rythme
Ponctuant ta vie
Dans le solo déchirant de ta trompette
Mon cœur fait le tic tac
Métronome de la vie
Je vibre aux sons de la basse
Tu es Jazz, et je ne suis rien !
Poème posté le 04/11/08