Doute
par Aerospleen
Les rivières de mon cœur
Furent parfois tourmentées.
C'est avec peur,
Que je m'en vais t'aimer.
Je ne pouvais plus y croire ;
Les vagues s'étaient arrêtées.
Elles avaient laissé place aux larmes noires
D'une existence anesthésiée.
Tout est à construire,
Et c'est là qu'est le Beau.
Face à nous un Empire,
Submergé par les eaux.
Poème posté le 22/12/17