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LES COMMENTAIRES RECUS:


Machajol [30/09/18 09:48]
Un poème digne des grands classiques ; merci !


Famineur [29/09/18 03:46]
Touché.


Ombrefeuille [26/09/18 18:03]
Merci, Matriochka, d'avoir bravé l'orage et salué le vieux château. J'ai voulu donner à ce dernier un rôle similaire à celui qu'ont les chamanes d'Asie Centrale et des peuples amérindiens, c'est-à-dire la mission d'être un "canal" entre ce monde terrestre et celui des "Esprits" et puissances supérieures.


Ancienmembre [26/09/18 17:10]
Très originale, l'idée que ce soit le château qui évoque, ô combien magistralement, cet orage qui nous fait trembler! On s'y croirait!
C'est vrai qu'il a dû en voir passer, des orages, depuis le 12ème siècle!
Superbe poème, merci Ombrefeuille!


Ombrefeuille [25/09/18 22:28]
Merci, Banniange ! Si on entend l'orage, c'est que le château a bien rempli sa mission :)



Banniange [25/09/18 19:54]
On entend l'orage rouler sur les créneaux, très beau!


Ombrefeuille [25/09/18 18:02]
Merci à tous et à chacun pour vos partages qui honorent mon texte. Le vieux château vous remercie :)

C'est vrai, chère Charazed, le choix des mots "moi, vieil insoumis" peut surprendre et laisser songeur. C'est que ce château en ruines évoque assez bien les luttes entre seigneurs locaux qui ont caractérisé l'histoire médiévale. D'où cette image du combattant qui ne se rend pas, qui ne se soumet pas, qui résiste. De plus, dans notre région, les guerres de religion entre catholiques et protestants, aux seizième et dix-septième siècles, ont été particulièrement sanglantes. Honnêtement, je ne sais pas si le château dont je parle a été le théâtre de ces affrontements, mais j'y vois facilement une figure (au sens littéraire du terme) de l'attachement de chacun à sa foi comme à un roc.


Myosotis [24/09/18 20:29]
Une ambiance dans laquelle votre écriture talentueuse nous plonge. Et nous voilà tapis à l'ombre de ce vieux château...alors que l'orage éclate.

Très beau.


Colline [24/09/18 15:51]
"J'ai vu dans la poussière échouée sur les toits
S'alanguir et errer les heures accablées,
J'ai vu buter l'azur à vos portes fermées,
Et je m'en suis ému, moi qui bravais les rois"
Mon préféré!!!


Charazed [23/09/18 19:00]
Comme une âme vivante!Très beau.
Mais pourquoi dans l'avant dernier ver: Moi,vieil insoumis?
Merci.


Aurorefloreale [23/09/18 09:22]
Oui , sa place est ici , ce poème est superbe , merci!


Claudel [23/09/18 00:52]
Très joli poème inspirant ; merci pour cette agréable lecture.