Vous devez ĂȘtre INSCRIT et CONNECTE pour laisser un commentaire

LES COMMENTAIRES RECUS:


Kerdrel [26/10/22 16:47]
Merci Véronik, temps passé pas vraiment il suffit d'avoir le sujet, ici les cinq sens
qui nous ramènent à la vie


Colline [26/10/22 11:11]
Un joli travail....que de temps passé...je suppose


Kerdrel [25/10/22 23:40]
et aussi les disparus


CinquiemeVallee [25/10/22 23:01]
Une pale comme tu dis ça se fêterait bien à Versailles...avec lespoetes dispos !


Kerdrel [25/10/22 19:58]
Merci beaucoup Colette, mon rêve serait de visiter Versailles et le petit Trianon, j'espère un jour le voir


Kerdrel [25/10/22 19:54]
Mille mercis Loren


Ombrefeuille [25/10/22 18:17]
Chapeau bas, Monsieur de Kerdrel ! Le Roi (prononcer "Roué") me charge de vous dire que votre poème lui plaît fort et qu'Il le juge écrit de l'encre la meilleure, telle qu'on n'en trouve plus que rarement en pays de France.

Bon-ben maintenant je vous la fais XXIe siècle ! Waow ! J'ai grave kifé ! ...;)))


Loren [25/10/22 15:41]
Je salue l'exploit, Kerdrel ! Quelle écriture ! +V


Kerdrel [25/10/22 09:11]
quelque soit l'âge la mort prend toujours par surprise


Lastours [25/10/22 08:49]
Vu la façon dont tu écris, la mort est encore très loin je pense et c'est tant mieux pour tout le monde, toi bien-sûr mais nous aussi tes lecteurs.


Kerdrel [25/10/22 08:32]
Merci Wawa pour le compliment, ravi que ce texte vous plaise


Kerdrel [25/10/22 08:31]
c'est le principe de EMI (expérience de mort imminente ) que j'ai vécu personnellement


Wawa [24/10/22 10:52]
Un classicisme de bon aloi et particulièrement réussi !
Tout paraît aller de soi à la lecture, mais je crois qu'il y a aussi du travail en plus du talent !


Jim [24/10/22 09:44]
Prendre soin de nos capteurs, c'est la base de la survie depuis qu'il y a de l'oxygène dans l'atmosphère... Certes, quand la pompe fuit, faut vite trouver des rustines ! J'ignorais que Ménalque avait résurrecté par distraction... Une jolie pécheresse dans la file d'attente d'entrée en purgatoire et hop ! voilà qu'on oublie de franchir le palier du bout du bout, détourné que l'on est par quelque effluve printanière.