Ce jour je vous dis adieu
Dans un modeste poème
Partir c’est mourir un peu

Naître et mourir, Ô dilemme !
Toute une vie c’est bien peu,
C’est mourir à ce qu’on aime

Taraudé par ce problème,
Quoi qu’on fasse entre les deux
On laisse un peu de soi-même.

J’aurai vécu pour le mieux,
La chance étant mon emblème
En toute heure et dans tout lieu

Or
Partir c’est mourir un peu…


D’après le poème d'Edmont Haraucourt "Rondel de l’adieu"
Lien internet

Si ce n'est "le deuil d'un vœu".. c'est choisir le bon moment, où la Passion annonce la résurrection !
Joyeuses Pâques
Martyr, c'est pourrir un peu...

Un distique connu depuis des lunes sans savoir le nom de l'auteur.
Tombée dessus en cherchant des exemples de rondels.
Révélation !
Glose pour fêter la fin d'une lacune

très beau, ça, merci Cathy, je t'embrasse

Bravo pour ces adieux théâtraux. Il y faut sans doute un rappel !
Bravo ! Bravo !...

Oui très beau !
Bravo Oxalys !

Des adieux théâtraux mais provisoires, juste le temps d'une petite tournée en famille.
Retour sur scène avec un nouveau répertoire à la clé !
Merci cher public aimé