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Ombrefeuille [10/07/21 16:40] Hé-hé, Jim ... La naïade étendue là dans l'insouciance de son bronzage sans une marque a quelque chose de magique, d'hypnotique, et te voilà à nouveau aux abords de ce jardin ...;) Merci pour cette lecture au ton juste qui fait ressortir à la perfection le contraste que j'ai tenté de saisir entre cette belle et le drame qui se joue à côté ... Du grand art de ta part ! Bravo !

Ombrefeuille [10/05/21 17:25] Vu !!! Tu te tenais caché dans les profondeurs de mon profil et tu regardais, depuis l'autre côté de la palissade. Mais ouf ! La jolie minette, là, à poil au bord de la piscine, ce n'est pas moi ;) C'est tout mon contraire (elle est mince, elle !) Merci pour ton comm très bien senti, et souhaitons que cette année la sécheresse ne frappera pas aussi fort qu'en 2019, où j'ai écrit ce texte ...

Jim [10/05/21 15:27] Visuel, sensuel, me voici devenir un peu Phoebus, un peu Borée... sans doute à cause de la courbe musicale.

Ombrefeuille [29/06/20 17:37] Vus, Messieurs ! La belle naïade vous a charmés ! Merci à vous, CinqV et Claude, pour vos lectures attentives.

Claudel [28/06/20 01:39] Bravo pour ce joli poème sensuel et ensoleillé aux rimes qui coulent et roulent avec caresses et tendresses dans une forme originale. J'aime beaucoup aussi son dénouement soudain. +V

CinquiemeVallee [27/06/20 22:22] L'Arbre de vie, ce cornu, ça l'a scié !

Ombrefeuille [27/06/20 16:38] Merci à tous et à chacun pour vos partages, entre décalé et réflexion, le premier ne nuisant en rien à la seconde, au contraire. Nos contemporains semblent souvent vivre à côté de la planète : Capables de se dire concernés par les enjeux liés au climat, et en même temps désireux de s'offrir une piscine privée ... La question mérite en effet qu'on la pose : Combien d'arbres pourrait-on abreuver avec l'eau d'une piscine ? Bien-sûr, il ne s'agit pas de culpabiliser les gens, mais on aimerait un peu de cohérence ...

Uncynique [26/06/20 21:06] Il est beau de voir comme vos vers nagent sur la page, et à la lecture on ressent particulièrement ce mouvement ! Très beau poème, aux formes agréables.

Saintes [26/06/20 11:23] De la piscine à l'arbre et c'est les coups de soleil assurés, des coups au sens le plus large.

Francis [26/06/20 08:01] Belle évocation de cette femme nue qui se baigne. J'ai aimé le parallèle de l'insouciance humaine et les arbres qui se meurent, derrière se profile une angoisse de notre avenir des changements à venir.

Lili [25/06/20 22:54] Mais que vois-je du haut de mon nénuphar,un corps nu? Un corps sage? Le rythme coule de source mais attention quand la boiserie s'effeuille..! rire

Oxalys [25/06/20 21:53] Oui, joli rythme, mais question embarrassante que je ne peux m'empêcher de ruminer : Combien de temps et combien d'arbres pourrait-on arroser avec l'eau contenue dans une piscine ? :-(

Louis [25/06/20 19:48] jolis ce rythme et on comprend pourquoi beaucoup de pingouins des villes rêvent , (parait-il en ce moment) , d'une maison à la campagne avec piscine (sans voisin à gros arbre) ;-)