Sur la plage
par Flamme
Regardez cette plage aux rivages naissants
Le vent semble dormir sur l’onde inassouvie
L’aube éclaire l'azur aux doux rayons perçants
Donnant le grand départ d’une course à la vie
Admirez ce spectacle en offrande à la mer
La lueur d’horizon quand soudain ils s’ébattent
Sur le sable mouvant, pour sortir de l’enfer
Guetté par le survol des oiseaux qui s’abattent
La Nature est ainsi, s’en sortent les plus forts
Les faibles sont festin de ceux qui s’en repaissent
Il en est des tortues, des fauves, des condors
La mort est le destin de ceux qui disparaissent
La Nature à ses lois pour tous les animaux
Qu’il ne faut pas confondre avec de la torture
L’homme est un prédateur aux instincts de bourreaux
Tuant des innocents qu’importe leur nature.
Poème posté le 23/08/14