Si le hasard cueille ses fruits dans les vastes
Vallées que peuplent les ennuis, je laisserais
Partir, sans geste et sans un bruit, le verbe aimer
Pour me rendre au chevet d'une vie bien plus chaste .

Mais le hasard s'amuse et aime les contrastes
Il ne cueille jamais là on on l'attendait .
Le destin lui laboure des heures enthousiastes
Mais le hasard se plaît a bien le contrarier .

Je ne saurai jamais lequel des deux va vaincre
J'ai tout abandonné car j'ai bien trop de craintes
De perdre mon essence mes sens et mes recours .

Vous qui vivez aussi ressentez-vous l'étreinte
De cet acharnement et de ces labyrinthes ?
Pourriez-vous vous aussi abandonner l'amour ?

Non !

Sénèque de l'amour dont nous avons besoin

Le destin est aussi insaisissable que le hasard, ils s'invitent... Le remède est peut-être de leur garder une place à table, disponible

oui sylvain je ressens ce que tu dis

Bonjour Violette :-) bises

Bonjour Mahea et Marcek :)

Merci de votre passage ...

c'est le temps qui répondra mieux que moi!

tu vas bien Aurore ?

Cela va bien Sylvain , je te remercie , l'hiver toujours trop long, attente du printemps avec impatience!!! Toi aussi , je suppose comme tout le monde...

tu réponds 1 mois après ...

cool ça roule :)

eh oh !Sylvain je sais plus combien elle n'a pas que ça à faire non plus hein!! alors bon hein, ça va!

Appelle moi Carole et on en parle plus Pierre .