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Poète
Ses poèmes sur thèmes
Idéal
Lettre d’un jeune poète
(Ballade oblique)
A l’hôpital
A l’infini
A l’infini
A toutes et tous
A verse !
Agnèlement du christianisme
Aiaié
Alme amer
Amours / Toujours
Amputation
Amputation
Antique
Apocalypse
Art pariétal
Au Père-Lachaise
Autans
Auto-coach
Belladone
Bluette
Bòri
Bouffée
Brise de conscience
Brocéliande
Bucéphable
C'est encore de l'amour
Caraquie
Ce rayon de soleil où danse l’éphémère…
Ce rayon de soleil où danse l’éphémère…
Censure
Chair humaine
Chanson vide
Chatrains
Chattemite abyssine
Chers anagnostes :
Cieux étiolés
Circée
Conjoncture
Critique de Dieu
Cruauté
Cuivres
Cul de sac
Dame de pique
Dédicace
Déjà !
Dernier poème de Rimbaud*
Derniers hivers
Diaphane et suraigu
Dizains
Eclosion du soir
Elle était une fois…
Epilogue
Esclave
Evanescence
Flamme
Foutaises !
Fragmentation de la lumière
Frégates de verre
Geste d’Orphée
Gifle
Glamour
Grièche
Holorimes
Homélie à Marine*
Hupokrisis
Ilouelle
Incident majeur
Irréversible !
Je ne sais pas
Jeux de sons
L'Anopée
L'automne des rhapsodes
La Carreterie
La fille piège
La sortie
La tombe
Lamalencan
Langue ultime
Le corset des sons
Le petit raz
Le suicide des religions
Les combattants du vide
Les mains sur les joues
Les oiseaux
Les recommandations intraduisibles
Lexicologie
Livides hivers
Loup-garou - Compagnie -
Lueur
Lugubres envols
Ma louve
Marécages
Médicistes et Carapeutes :
Miroir
Monsieur :
Nesuferitu
Obsession
Océane
Paradoxe
Paréidolie
Pas un jour sans tracer une ligne !
Pax Romana
Petits jeux
Pierres de Gages
Poésie aigre
Pour comprendre
Pour vivre heureux...
Prémices du printemps
Premier jour
Présomption
Promesses
Psyché
Pudeur
Rajout
Refuge
Regard
Religieuse prose
Sadness
Salive de lune
Sanglot
Scarification
Solécisme
Technique
Télégramme
Temps carnivores
Travers
Un faussaire orthodoxe
Vandales
Veto
Illustrateur
Premier jour
huile de Mayor
Premier jour
Devant moi poussait la brousse ;
Et comme aux Hébreux la mer,
Elle ouvrait sa vague rousse,
Tel j'eusse été Déméter !
Octobre en prenait à l'aise
Dans le grand d'un matin clair
Dont nous allumait la braise,
La nature - alma mater -
Aux buissons inextricables
Où j'aime à me fourvoyer,
Biotopes impeccables,
S’irisait le grand foyer
… Et mon cerveau qui moissonne
A la ronce du matin,
Avant que le coq ne donne
Cueille un vers adamantin.
Ecrit par Salus
Tous droits réservés ©
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