de l'autre côté
par Jpfras
A l'entrée du vestibule,
il stationne.
Reliquat de verbes sans fenêtres
Ouvert à la porte des souvenirs;
Tout est à entreprendre ! l'onde s'entrouvre.
Enveloppé par des formes gigantesques,
tu luis !
Comme l'éclair au centre du crépuscule.
Qui implose en ces lieux ?
Dramaturges élus !
Venus nombreux crier,
S'époumoner sans savoir,
Au lieu d'absoudre.
Ô ! lourdeur d' atmosphère.
Bardes soumis, humez l'espérance
Montez au large sur des coques de foi,
Puisez au fond du grandiose.
Dytiques reconvertis,
Limaces frauduleuses
Et punaises farfelues
Disparaissez de la rare futaie
Afin que je puisse admirer ce qui éclot
Pour m'émouvoir encore....
Et encore !
Durant les heures torrides,
Incandescente pâleur
Rejoins moi !
Étalons nos affres,
Sans dégoût.
Jean.Pierre Fraselle
02/2017
texte écrit suite à des propos tenus par des gens peu instruits qui se prennent pour des personnes sensées alors qu'ils sont intolérants et méprisants... ce sont pour moi des nuisibles
Poème posté le 07/02/17