De toi, merveilleux souvenirs…
Dans mon cœur, je voyais venir
Des nuits, de somptueux plaisirs…
De rêves, tu m’as fait vêtir.
Ulysse n’atteint pas ton doigt,
Ultime tour, l’arc est à toi…
Ulcérés, prétendants sans foi
Unissaient l’effort contre toi.
Nacre la couleur de tes yeux,
Noie tous ces pauvres malheureux,
Navrés, partent vers d’autres cieux…
Nous resterons donc tous les deux.
Egaie ma chandelle, mon trésor.
Eblouis ces félons ténors.
Eloigne nous du mauvais sort.
Elisons notre dune en or…
Dune : lit où seul le vent peut emporter les traces du merveilleux amour.