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Posté à 20h00 le 28 Feb 20
L’histoire se situe tout près d’un trou (normand).
Un père et puis son fils bêchent au potager,
Lorsque soudain l’outil du gamin performant,
Heurte un objet très dur qu’il vient de dégager.
– « Nom de Dieu ! » dit le père au comble de la peur,
« Mais c’est une grenade : elle est dégoupillée ! »
Il arrache l’engin des mains de son mineur,
Et le balance au loin au fond de la feuillée,
Tout près du vieux waters à moitié délabré.
Juste un moment après, sortant dans la fumée,
Grand-mère titubant, le visage empourpré,
S’écrie : « Ben cré vin diou ! » (complètement paumée),
« Jamais un de mes pets n’a fait tant de dégât,
...J’aurais pu le lâcher au salon celui-là ! »
ANDRÉ
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Posté à 14h49 le 29 Feb 20
MDR
Quelle est la différence entre l’épandage de bon humus et celui de bonne humeur ?
Réponse :
Aucune, tous deux sustentent des vers pét(ill)ant de vigueur !
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Posté à 15h53 le 29 Feb 20
Adéquation remarquable :
Entre le trou dit … Normand
Et le pet de Grand Maman :)
Histoire à rebondissements !
Ce message a été édité - le 29-02-2020 à 16:04 par Arcane
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Messages : 738
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Posté à 18h16 le 29 Feb 20
j'sais pas pourquoi j'l'ai associé au pet de nonne
Lien internet
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Posté à 12h17 le 02 Mar 20
Bonjour OXALYS,
Il fallait que ces vers restent, malgré tout, en "odeur" de sainteté. Sinon, c'eut été un "vent" de panique.
MERCI pour cette très sympathique appréciation.
Très bon début de semaine.
CARPE DIEM
ANDRÉ
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Posté à 12h25 le 02 Mar 20
Bonjour ARCANE,
Les mots et les pets ont ceci en commun que ce sont des volumes d'air qui sortent chacun des extrémités du tube digestif.
MERCI pour ta lecture, ton Amitié et ton partage.
Très bonne journée. BISOUS du marseillais.
ANDRÉ
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Posté à 12h42 le 02 Mar 20
Bonjour EN SUSPENS,
Sans doute parce qu'on à l'habitude de penser que la consommation de pets-de-nonne ne garantit pas une mort en odeur de sainteté.
Je crois qu'on peut dire que la mamie était dans le vent ! Elle pète la forme !
MERCI de ton passage sur cette petite élucubration poétique.
Je te souhaite un très bon début de semaine.
CARPE DIEM
ANDRÉ
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Posté à 13h06 le 02 Mar 20
Ami :)
Légère différence à inscrire
Nos mots, vocables de céans
Voguent comme bateau ivre
Sur la splendeur des Océans !
les pets en question...
Sont d'EOLE le confrère,
Et fils du Dieu Poséidon
Nul n'en dira le contraire.
Même s'ils sortent du bidon,
Je redonne aux pets, leurs lettres,
Et me sens fort contrariée
Qu'émanant de mon Être
De si bas ils soient tombés
Ami calment et bien à toi :)
Ce message a été édité - le 02-03-2020 à 13:09 par Arcane
Ce message a été édité - le 02-03-2020 à 13:11 par Arcane
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Posté à 15h14 le 02 Mar 20
ça me rappelle l'école en géographie, quand un certain fleuve Roumain affluent du Danube et frontalier de la Moldavie semait l'hilarité,
"le Prout"
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Posté à 16h22 le 02 Mar 20
Le coup des pets dans l'eau peut champagniser le liquide, par pétard associé...
Le coût étant bien moindre....
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Posté à 17h45 le 02 Mar 20
Bonsoir ARCANE,
Si les pets cocotent, nos mots, eux, fleurent bon ce "vent" de "paix" et de bienfait qui se "dégage" de nos petites turlupinades les rendant "pétulants" !
MERCI !!!
BISOUS parfumés aux odeurs de thym et de romarin.
ANDRÉ
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Posté à 17h55 le 02 Mar 20
MERCI de ton passage et de ton partage dans ce topic de la bonne humeur, KERDREL. Dans ce domaine, je sais que ton inspiration et ton tempérament ont le vent en poupe !
ANDRÉ
Ce message a été édité - le 02-03-2020 à 17:55 par Laugierandre
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Posté à 18h24 le 02 Mar 20
Bonsoir TONIN,
Un prout dans l'eau, c'est rigolo. Ça devient de l'air liquide et ça se transforme en pétard mouillé. Champagniser le liquide, là, on passe à la catégorie supérieure et ça "sent" le snobisme...
ANDRÉ
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Posté à 08h47 le 03 Mar 20
YSO-PET
Un pet souple et discret n'est pas licencieux ;
Tout comme un courant d'air, cherche une échappatoire
Dont l'effluence suit la piste aléatoire,
Vers l'odorat troublé de voisins sourcilleux.
Il est force tranquille, un rien facétieux ;
Soulage son auteur qui, dans l'exécutoire,
Libéré d'un tel poids vraiment jubilatoire,
Retrouve apaisement dans son acte orgueilleux.
Un pet, je vous le dis, ne peut être imposé ;
Libre comme "le vent", modeste ou bien osé,
N'est que gaz naturel qu'accorde la nature.
Dégagé sans effort il n'a d'ambition
Qu'un bref désagrément que parfois il procure,
Bien moins grave, en tout cas, qu'autre pollution...
ANDRÉ
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