Ondée
par Arden
Or
La ville étalait tous ses petits métiers par les rues pavées
Vers cinq heures de l'après-midi
La pluie catastropha les heures dorées
Vers les touristes perchés
Sur d'immenses terrasses
Devisions au sein des fumées de pipes
Soudain - O Gamaliel!-
Un rayon d'or traversa le ciel
Et l'on vit en chair dorée
Rutiler le beffroi
Sous les fronces du ciel funèbre
Poème posté le 01/03/04