A l'automne les troupeaux redescendent ...
par Tonindulot
Je marche, d’un bon pas, sur ces sentes pentues
Écoutant le doux son des clarines nombreuses.
Des troupeaux de brebis de leur laine vêtues
Descendent en bêlant et d’allures coureuses
Tandis que le berger aux idées fort têtues
Hèle les égarées jugées peu rigoureuses.
Plus bas, dans le vallon, les enfants vont en bande
Au sortir de l’école où ils durent se taire.
Ils crient et font chahut sur cette platebande
En plein milieu du square , en preux contestataire
Proclamant aux penauds qu’avec leur sarabande
Survit encore un peu le cran du mousquetaire.
Tout ceci fait spectacle et j’en suis fort heureux
Me disant que le Monde est fait de cohérence.
Les gens d’ici sont bons et surtout valeureux
Ils vont tous de l’avant sans donner conférence,
Sans dauber le voisin qui peut être peureux
Mais en tendant la main, bien sûr de préférence.
Sans plagier son bon maître au tracé toujours droit
Le chien louvoie sans cesse et recentre la troupe.
Il regarde le pâtre et se veut fort adroit
Pour stopper les écarts des bêtes qu’il regroupe.
Que j’aime le climat de ce fort bel endroit
Qui vit de franc transport sans aucune entourloupe !
Ô montagne tabou qui dénie aux athées
Le droit de tout nier sans aucune mesure.
Ici tout à une âme y compris les bâtées
Qui portent le fardeau des petits sans masure.
On doit leur savoir gré de s’être fort hâtées
A servir un humain sans réclamer d’usure.
Poème posté le 21/02/22
par Tonindulot
Poète
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Aux mots dits sans coeur....
Je t'ai tout pardonné...
A l'automne les troupeaux redescendent ...
Armez vous de bons sens...
A l'heur du pastiche....
Sur une idée d'un autre voici mes vers ...
Au donneur de leçon...
Après avoir longtemps érré sur le rivage....
Aimer toute saison pour ce qu'elle est
Amours enfantines, marques éternelles
Ferraillez, mon Ami, sans plus vous courber
Que n'ai-je donc su plus tôt....
Délire ou psy chose en léonins
En ma rase campagne...
Être enfin homme de poids...
La potée ne sale pas la marmitte...
Il est mort le soleil...
Que soit la joie....
Des pensionnaires académiques...
La fermière infirmière....
Sur le trottoir...
Ô muse infirmière donne moi l'onction...
Au film de la vie...
Ma femme et le succube...
Deux pour le prix d'un...
A toi qu'on dit étranger...
Le rat de marais...
Avoir un compte en cieux...
Prenez mon sac cadeau...
Clerc de lune...
Je m'apprête pour l'automne...
Le sot fat sans fauteuil....
Les moissons sont finies...
Que jeunesse se passe....
Succombez donc aux éclats d'eau bue..
A toi poète de toujours....
A celui qui doute...
Gardons, mon ami, la force de gloser....
Pour mieux viellir ensemble...
Satyre à boulets rouges..
Ô Princesse en errance...
Parlons peu, parlons bien...
Difficile d'être en tête de l'art...
Le sens et l'assommoir...(2 rondeaux)
Je me suis trompêté de fable
Gardons surtout l'espoir...(rondeau)
L'écot du vigneron...
L'affable en galant bourg....
Le ciel au style d'hiver...(rondeau)
Un mec affable doit rester mec à fable
Je suis bien un berger
Fait d'hiver
Le Médoc peut soigner...
Un printemps sans hirondelle...
Au final, la coupe des vices....
Buvez ces quelques vers....
Dur de suivre le confinement
Ô toi ma douce Mie...
L'onirique vie sans appât...
Cousine ! prenez-moi...
La décadence en décas denses...
Ce temps me porte au nu...
Devenez professeur de l'être...
Ne pleure plus, ami fidèle...
Pourquoi donc faire jeun..??
Ô soleil mi-haut....
J'ai rangé mon violon...sans sonner
Les mots d'Est, dès le levant...
N'écrivez plus cela....
On ne nous tolère plus rien...
Pourquoi pas aujourd'hui ?.....
Être un Homme de lettre.....
Oeil pour oeil, vers pour vers....
Allez-vous faire voir ?
Le Pari est au vert....
Du temps de l'alpage...
L'affable peut toujours servir...
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A narcisse se voilant la face
Parlons peu, parlons bien...
Dites-moi, par bonté...
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L'âne v.s.l (en décas denses)
Voguons loin, mais revenons au port
En votre douce alcôve...
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Louez-moi donc un peu...
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Un secret...taire
Où es-tu donc passée..?
Prions donc ensemble...amie
Si le vent souffle rentre auprès du feu...
Mignonne ! Allons voir si l'herbe est aussi verte
Ballade des fondus...
Complainte d'un tordu...
Ah..Les premières fois...
Venez donc par ici, tout petit timoré...
Quand l'appel me cueillit comme une feuille morte...
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