Amers sanglots
par Escience
Le soleil se lève les corneilles se réveillent,
Jour du chagrin en cet automne Ô vermeil.
La messe d’a-Dieu commence en larme si triste.
La famille présente en la maison du Christ.
Tous pleurent le défunt partit subitement,
Du plus jeune au plus âgée pleurent profondément.
Le défunt avait une place en chacun d’eux.
Les chants ne les réconfortent tellement peu.
Les prêtres appellent à la cérémonie les jeunes
Pour décorer de bougies le cercueil du défunt
éclairant le défunt vers les cieux si divin.
Le cercueil s’en va pour ne plus jamais être revus.
La famille, elle se sépare avec d’amers sanglots.
La mort laisse une blessure inguérissable.
Ce poème est la description de la messe d'adieu de ma grand-mère.
Poème posté le 09/03/24
par Escience