Doux délires
par Joyce
Tu es un troubadour
adulant les prairies.
Faisant rimer toujours
et bleu de l’infini.
Ton village est riant
bercé par les vents doux,
et je te vois marchant
dans ce monde de fou.
Ami tendre et charmant
mouillé par l’eau de pluie.
Tu es un homme ardent
amoureux de la nuit.
Avec simplicité
tu décris la rivière
aux reflets argentés
de galets et de pierres.
A L’affût de ton cœur
c’est près d’un arbrisseau,
palpitant de bonheur
que tu deviens oiseau.
Volant à tire d’ailes
plein de vie et d’espoir,
la nature est si belle
vibrante dans le soir.
Reste ce chevalier
des sites et des chemins,
et deviens un allié
pour tous ces clairs matins.
A tous les troubadours qui ont la tête dans les étoiles...
Poème posté le 18/05/09