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Posté à 07h40 le 20 Jun 19
La mélodie des campaniles diminue,
Un ciel plombé coiffe les toits mauves et roux.
Inquiétant fut ce long silence inattendu
Tandis que les oiseaux retiennent leur courroux.
Sous l’ombrage de la terrasse des glycines,
Une pâle dévote trotte à pas menus.
L’animation joyeuse met une sourdine
A l’expansion de la vie soudain suspendue.
Survint l’étrange déchirure de la nue,
Les villageois désorganisés s’épouvantent
Puis se dispersent en fuyant sans retenue
Sous l’emportement violent de la tourmente.
S’aplatissent mollement dans la poussière
Des larmes énormes mâtinées de grêlons.
La meute se déchaîne zébrée par les éclairs
Piètre jour d’un été au destin infécond.
La colère des Dieux, fut bientôt invoquée
Comme au temps ancestraux d'illustres mécréants.
Quelle accablante punition nous est donnée
Et nous ramène au spectacle du néant !
Arcane … en tremblant
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Posté à 09h23 le 20 Jun 19
Tant de courroux en ces dieux ,
Tremblent nos pensées,
Tant ils sont furieux,
et noir se couvre le décor,
J'en tremble encore et encore...
Mais je viens te réconforter!
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Posté à 16h20 le 20 Jun 19
Aurore ...
poésie de situation
Et le ciel sans manière,
Claque , c'est une aberration
Vas y gronde le tonnerre !
BBRRRRR !
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